Les cités draconique
Galerrakath – Clan de la vie
Galerrakath se situe au bord de l’océan et du désert du nord, sur l’île de ZooNigZu son dieu protecteur est Vhalegar. Elle a la particularité de posséder trois grandes pyramides recouvertes de marbre blanc, en l’hommage à Vharung et aux fils de la vie. Ce marbre, extrait des carrières de la grotte du bout du monde et transporté par le fleuve l’elfe, est le matériau principal pour la construction des bâtiments de la ville.
Cette cité, parmi les plus grandes, compte 18 000 habitants, dont la spécialité est la médecine et le soin. C’est sans surprise, qu’on y trouve les meilleurs médecins de tout l’archipel.
Les habitants de cette ville usent de la magie de la vie, permettant à des objets, d’habitudes inanimés, de prendre vie. Ils y apprennent la compréhension et le respect de toutes les formes de vie. Ils embaument leurs morts, plutôt que de procéder à leurs crémations, pour garder une partie de leurs esprits auprès de ceux qui les aiment. C’est pourquoi, ils se refusent de manger de la viande, et malgré un climat aride, ils y cultivent, dans de nombreux jardins, des fruits et légumes, ainsi que des plantes médicinales. Le plat le plus populaire est sans conteste le gâteau de pois chiches au sésame.
Tous les premiers jours de Lexerha est organisée la grande procession de la vie, en l’hommage de Vharung et de son représentant sur terre. C’est un grand défilé avant les semailles des champs. Elle a pour but de se laver des péchés de l’année et de bénir les futures récoltes.
Elle est dirigée par Tarnar, un dragon à tête de chacal, portant de nombreux bijoux. Ce dernier est vénéré comme le représentant de Vharung sur terre par tous les membres de son clan, ce qui est plutôt mal vu par les autres clans, et encore plus par les religieux. Pour ces derniers, seul le VhaDovaPee* est la parole de Vharung.
Weitha – Clan de la Glace
Cette ville se situe sur une petite île, au sud de ZooNigZu, appelée AatiKree, qui signifie l’eau cruelle. Elle a la particularité d’être au pied d’une montagne enneigée, dont ils exploitent le minerai de charbon. La température ne dépasse jamais les -10°C. Pour vivre dans cet environnement glacial, ce clan exploite l’immense forêt de conifères de leur île, qui fournit le bois nécessaire pour la construction et le chauffage des maisons. La vie y est très paisible et calme.
Cette cité, de taille modeste, compte 8 000 habitants, dont la spécialité est la chasse et la vente de fourrure. Malgré son climat froid, la ville compte de nombreux commerces, dont essentiellement celui de la fourrure. C’est une ville très accueillante, surtout pour les négociants, qui sont perçus comme des bienfaiteurs apportant des denrées alimentaires différentes de celles limitées de la cité.
Les habitants adorent le ragoût de varan à la sauce au champignon, le plat traditionnel de la ville. Au début de Lexweqi, les glaces du port fondent un peu, c’est le début des saintes glaces qui s’étalent sur deux mois. La population de Weitha y fête le retour des bateaux marchands qui, uniquement en cette période, peuvent accoster au port sans briser les glaces.
Le Dieu protecteur de la ville est Klaraug. La cité est basée sur la magie de la glace. On y apprend à la maîtriser, cela aide à se défendre en créant des murs de glace épais ou à se défendre avec des armes gelées. Au passage à l’âge adulte, les enfants doivent partir de la cité pour en revenir qu’avec leur premier gibier. Une épreuve initiatique que tous les dragons de weitha se doivent de passer.
Elle est dirigée par Draleder, un dragon à dents de sabre de 30 cm, capable de décapiter un dragon d’un coup de mâchoire. Il mesure 4 m de long pour 2 m de haut. Il possède de nombreuses rancœurs envers le clan Dwaliwyr, qui, il y a plusieurs siècles, les ont repoussés sur cette petite île froide. Ces conseillers se disputent tour à tour pour les reprendre à nouveau, ainsi que d’envahir d’autres clans, ou s’isoler du monde et couper court à tout rapport diplomatique.
Eraliwin – Clan de la terre
La ville se situe dans le désert de rocaille d’Eraliwin, un endroit sec et chaud. La cité est entourée de murailles les plus solides de tout l’archipel. A l’intérieur de ces remparts, la ville possède des rues étroites et souvent dans l’ombre des immenses murs d’enceintes, haut de plusieurs dizaines de mètres, 40 m pour être exacte pour 30 m de large au plus bas.
Avec ses 15 250 habitants, Eraliwin est une ville de stature importante, dont la spécialité est le travail de la pierre.
Dans la cité, on y trouve les meilleurs sculpteurs de Liber. La ville possède peu de ressources, elle a de nombreux puits profonds, pour l’alimenter en eau, ainsi que des jardins artificiels, à l’abri de ses murs, pour s’approvisionner en nourriture.
La spécialité culinaire de la ville est la brochette de scorpions grillés. Au début de Lexaly se déroule la fête du pétard, qui commémore la fois où un pétard fut placé sur la porte de la place du Marché pour investir la ville. L’alerte fut donnée à temps. La ville, durant cet événement, lance des rochers en l’air, par magie ou par trébuchet, en direction du désert, permettant aussi de vérifier la puissance de leur système défensif.
Le dieu protecteur de la ville est Balloelia. La magie de la cité est celle de la terre, elle permet de se déplacer facilement dans le désert, en manipulant le sable et les rochers qui le composent. Les ressources étant rares, tout gaspillage de ressources, eau comme nourriture, peut être passible d’emprisonnement.
Elle est dirigée par Galigol, un dragon de 3 m de haut pour 500 kilos, à tête d’alligator. Il est assez rustre et parle peu, se contentant souvent de murmurer. Cela pose des difficultés de communication avec son entourage, le rendant difficile à cerner.
Crilanydd – Clan de l’illusion
La ville se situe à l’ouest de l’île principale, dans ce qu’on appelle ùIki : les portes de l’inconnu. Elle est sur une petite île, au milieu d’une forêt magique, remplie d’illusions. Si on ne connaît pas le chemin, on peut s’y perdre. La ville est faite de bois et de pierres, et dispose de nombreux AaBodKrod. Ces lieux sont des sortes d’auberges où on y vient s’évader par le biais d’illusion et de rêve, comme des fumeries d’opium aujourd’hui.
Crilanydd est une grande cité de 14 750 habitants, dont la spécialité est l’alchimie et la récupération magique. La cité dispose des meilleurs soigneurs pour les problèmes psychologiques, grâce à leurs méthodes de soin par l’illusion. La ville est autonome en ressources alimentaires, principalement issues de la pêche. Elle possède de nombreux bûcherons et tailleurs de pierre qui lui fournissent les matériaux de construction.
La spécialité culinaire de la ville est la soupe de chenilles. La grande fourberie, au premier du mois de Lexauch, les jeunes Dragons de la ville volent les objets oubliés dehors et les déposent devant le temple de Draauch. Une petite farce bien innocente.
Le dieu protecteur de la ville est Draauch. La magie de la cité est basée sur l’illusion, d’après leurs codes, ils ne doivent pas s’en servir entre eux. Mais tous visiteurs venant dans leur cité risque d’y laisser des plumes, en achetant parfois que du vent. Au milieu de la ville se situe le temple du rêve, où chaque futur guerrier doit y affronter ses plus terribles peurs.
Elle est dirigée par Smaug, un dragon papillon, manipulateur et sournois, malgré son aspect féerique. Il utilise ses pouvoirs d’illusion pour imposer sa volonté.
Limenido – Clan de la télékinésie
C’est la ville qui se situe le plus à l’est de l’île principale, sur la presqu’île de ZooLexApa.
C’est une humble ville constituée de maisons de bois et de chaume ne dépassant pas les deux étages. Elle est entourée d’une enceinte de bois des plus résistantes. Elle gère de façon formidable ses ressources, en effet, les troncs qui composent la muraille, sont enchantés par la magie de la télékinésie et repousse tous objets voulant les toucher. La cité dispose de nombreuses richesses issues des produits de la mer et du bois.
Limenido est une grande ville de 15 300 habitants, dont la spécialité est la pêche et la conservation du poisson. La cité respecte la nature et évite d’offenser les esprits de cette dernière. Pour chaque arbre coupé, on en replante un, pour ne pas offenser les esprits de la forêt. Des petits cultes aux créatures de la forêt existent en parallèle de celui de Vharung.
Le dieu protecteur de la ville est Graly. La magie de la cité est, tout naturellement, basée sur la télékinésie. Elle sert dans la vie quotidienne pour déplacer des objets lourds ou tout simplement pêcher, en soulevant dans les airs les poissons choisis.
Durant la sainte Graly, qui se déroule au milieu du mois de Lexaly, on organise de gigantesques feux de bois ou les plus courageux sautent par-dessus. C’est aussi un moyen d’éprouver sa foi. À de rares occasions, ces courageux échouent et subissent de graves brûlures, voire en meurent.
Elle est dirigée par Agco, un dragon serpent de 1,5 m de diamètre pour 40 m de long. Ce dragon a la capacité de prendre n’importe quelle personnalité d’une personne qu’il a touchée, ce qui peut être très perturbant.
Dwaliwyr – Clan de l’esprit
La cité se situe sur une grande île, à l’ouest de l’île principale, nommée VhaKriKãä. Elle possède de nombreux bâtiments en bois à tuile grise, surélevés et protégés par de hauts murs. Elle dispose de peu de ressources, en effet, les quelques rizières aux alentours suffisent à nourrir le corps des habitants en repos, qu’ils regagnent une fois par semaine pour assurer leur survie. Malgré des besoins alimentaires peu importants, elle a un besoin vital de fer pour la confection des armures, qui abrite leurs esprits, qu’elle s’efforce d’obtenir par le négoce, mais dans l’extrême par la guerre.
À Dwaliwyr on compte, 19 500 âmes, dont la spécialité est centrée sur les arts divinatoires. Malgré une population importante, la ville reste d’un grand calme, le silence est de mise. Les dragons de cette ville pensent que le monde est peuplé d’êtres invisibles qui influencent nos comportements, en bien ou en mal. Des petites créatures ont un comportement qui varie de l’espièglerie à la malveillance et, occasionnellement, ils portent chance à ceux qu’ils rencontrent.
Les habitants de cette ville adorent le gâteau au riz et au saké. Tous les mois de Lexerha, les esprits des dragons regagnent leurs corps pour se reproduire. À la fin de ce mois, on organise le festival des lanternes, les habitants de la ville mettent sur des petits radeaux des lanternes éclairées de bougies, puis les laissent partir au gré des courants.
Le dieu protecteur de la cité est Alserha. La cité est basée sur la magie de l’esprit. Au cœur de cette cité se situe un bâtiment sous haute surveillance, le sanctuaire du grand repos. Dans ce temple se situent les corps de tous les dragons de la cité. En effet, les habitants de la cité sont les esprits de ses corps vivants, usant d’armures comme enveloppe de substitution, mais si leurs corps meurent, leurs esprits disparaissent aussitôt. Cela leur confère un avantage, être proche des esprits des morts et pouvoir communiquer avec eux. Leurs esprits ne sont pas non plus immatériels, les rendant donc plus ou moins sensibles aux attaques physiques.
Elle est dirigée par Tinrawang, un puissant dragon spectral, capable de prévoir l’avenir avec une grande précision, mais personne n’arrive à croire en ces prédictions.
Cem – Clan de l’invocation
Cette ville se situe au nord de l’île principale dans une chaîne de montagnes, les Aato ZooLex. Elle est creusée dans une de ces montagnes. Dans celle-ci, on y trouve une rivière souterraine, et de nombreux puits de lumière éclairant la cité. Une légende raconte qu’elle aurait été creusée par un ancien peuple de nains et offerte aux dragons, mais cela reste une légende, car de nos jours on ne trouve aucune trace de ce peuple nain.
La cité possède de nombreuses caves à champignon, pour nourrir la cité, ainsi que de nombreux élevages de créatures en tous genres. Elle a aussi la plus ancienne des bibliothèques, avec les écrits les plus rares et les plus vieux. C’est cette ville qui est à l’origine des portails et ce sont les premiers dragons habitant la cité qui les ont construits. Ce savoir est maintenant perdu, seul vestige de cette connaissance : un portail au milieu de la cité.
C’est l’une des villes les plus importantes, on y compte à Cem 22 000 habitants, dont la spécialité est le dressage d’animaux sauvages, leurs élevages et le métier de vétérinaire. Les monuments à voir à Cem sont la grande Archive, avec l’accord de Merwang, mais aussi la grande fontaine, avec ses sculptures d’une grande finesse.
On y mange le plat traditionnel de Cem : Le rat taupier à la broche. Il existe une grande fête à Cem : La grande pensée. Tous les premiers du mois de Lexweqi, les habitants de la ville déposent des fleurs aux pieds des mausolées, pour honorer la mémoire de leurs anciens.
Le dieu protecteur de la ville est Magh Eqi, Père de la matière, de la chasse et des invocations. La cité est basée sur la magie de l’invocation. Pour réaliser un contrat d’invocation avec une créature, il existe plusieurs possibilités :
On capture et sacrifie un animal pour le lier par un pacte avec vous. Vous pouvez ainsi l’invoquer quand bon vous semble pour lui demander assistance ou établir un lien de confiance.
Elle est dirigée par Merwang, un dragon quadrupède de 2,20 m de haut pour 4 m de long. Ce vieux dragon a quelques troubles cognitifs et a du mal à trancher entre deux mouvements de pensée au sein de la cité. En effet, deux courants de pensée sont actuellement en conflit à Cem, celui d’une liaison avec l’invocation basée sur la confiance et un basé sur l’ancien culte traditionnel du sacrifice.
Natura – Clan de la nature
La cité se situe sur la côte est de l’île principale et au nord de la baie d’AatiCla.
Le centre de sa ville se situe dans un immense arbre, plusieurs fois centenaires. Le reste de la cité se trouve dans les arbres environnants, reliés entre eux par des ponts suspendus. L’entrée de la ville est protégée par un mur de rose de plusieurs mètres de haut, s’écartant au passage d’un membre du clan.
La ville dispose de nombreuses ressources alimentaires issues de la cueillette de fruits et de légumes. Pourtant, il n’y a pas d’agriculture, qui est considérée comme un acte de destruction de la nature et une tentative de la soumettre. La chasse et la pêche ne sont pas pratiquées dans cette ville.
A Natura, on compte 10 300 habitants, qui connaissent parfaitement la nature, ses dangers, mais aussi ses bienfaits. Les êtres vivants ici sont en communion avec la nature, avant chaque repas végétarien, ils remercient la nature de leur avoir apporté ces bienfaits.
Leur plat traditionnel est la salade de champignons. La cité ne possède pas forcément de dieu protecteur, c’est la nature elle-même qui est considérée comme la déesse protectrice de la ville. Pour l’honorer, à chaque début du mois de Lexrung est organisée la fête du renouveau. Les habitants préparent un grand repas composé de fruits et légumes, pour fêter l’arrivée du printemps.
Une tradition veut qu’au solstice d’hiver, toutes les lumières de la ville soient éteintes, comme si la ville était en deuil et sont rallumées dès le lendemain, symbolisant un nouveau départ de l’année avec ces jours qui se rallongent.
La cité est basée sur la magie des forces de la nature. Les habitants en appellent à elle pour se défendre, se protéger, mais aussi pour se nourrir et vivre en paix avec elle.
Elle est dirigée par Vhaaxkas, un immense dragon d’une centaine de mètres de long, possédant même sur le dos une petite maison sous un arbre. C’est un extrémiste concernant la protection de la vie animale et végétale, ce qui lui ne vaut pas mal de prise de bec avec les autres chefs de clans.
Aelath – Clan de l’eau
Cette ville se situe à l’ouest de l’île principale, sur la petite île du nom de Kãääti, au milieu d’un lac. Le palais principal ressemble plus à un immense château. Les habitants vivent dans des maisons richement décorées. Au cœur de la cité se trouve une grande cour où se rassemblent marchands et visiteurs.
Le lac au abord de la cité là fournit en poisson. La ville possède aussi la plus grande armada de bateaux de pêche et les plus solides navires de guerre. Sa flotte est des plus redoutées, elle surpasse de loin celle de tous les autres peuples sur l’océan, mais sur terre, leurs troupes sont moins efficaces.
À Aelath on compte, 8 600 habitants, dont les spécialités sont les métiers d’arts et la culture de l’esprit. Les habitants adorent le lapin aux truffes, un plat très recherché, les truffes ne se trouvant pas dans la cité ou sur son territoire. Sur la place, on peut y trouver aussi un grand musée de l’histoire de l’île et de sa culture artistique. La cité dispose aussi de la meilleure école d’art. On y forme architecte, peintre, troubadour, jongleur, musicien, écrivain. Ces derniers approvisionnent la bibliothèque d’Aelath en nombreux ouvrages historiques, romans, histoires et poèmes.
Le dieu protecteur de la cité est Apaxas, dieu de l’eau, de la sagesse et de la mer. Pour lui rendre hommage, au solstice d’été se déroule la fête des arts. Les rues sont alors envahies par de nombreux artistes qui partagent leurs travaux aux visiteurs. La cité est basée sur la magie de l’eau. Pour les plus expérimentés des magiciens, cette maîtrise permet même de manipuler l’eau contenue dans le corps d’un individu, ce qui en fait une arme puissante. Heureusement, ces maîtres magiciens sont extrêmement rares, cette pratique étant dure à apprendre et condamnée par toute la cité.
Elle est dirigée par Erilaloth, un dragon de 3 m de haut, avec des écailles humides et luisantes. C’est un brillant stratège et un dragon raffiné. Il est Blemmophobe – Peur du regard des autres – c’est pour cela qu’il prend soin de lui et de son image, et qu’il change souvent d’avis pour ne pas décevoir son interlocuteur.PlanVideo
Coalith – Clan de la mort
Cette ville se situe au sud de l’île principale, au cœur de la redoutable jungle de VhaToo. C’est dans ce climat tropical que les dragons vivent avec beaucoup de serpents, d’araignées, de scorpions, de varans, de jaguars et d’autres animaux dangereux.
La cité possède 3 grandes pyramides à degrés symbolisant les valeurs du clan : honneur, courage et dévotion. Pour nourrir ses habitants, elle dispose de nombreux élevages d’animaux et de plantations d’arbres fruitiers, pomme, banane, ananas.
Malgré un habitat hostile, Coalith peut compter sur une forte population de 17 000 habitants. Pour se divertir, elle organise des jeux sportifs. L’un est devenu très populaire, celui-ci consistant à faire rentrer une balle en vessie de varan dans un trou de pierre vertical à 3 m du sol en se servant que des coudes ou des genoux. À la fin de ses compétitions, on y déguste le plat traditionnel : Le cœur de varan farci.
Au mois de Lexaxa, pour vénérer les dieux et célébrer le grand sacrifice, on effectue des sacrifices d’animaux aux pieds des temples. Le cœur est ainsi offert et la chair de l’animal mangé au cours d’un grand banquet. Avant, cela était des dragons volontaires ou capturés, mais cette coutume barbare a tendance à disparaître. Elle reste malgré tout encore utilisée dans des conditions très spécifiques. En plus du culte de Vharung, on y vénère et étudie les astres et les étoiles, dans le but d’y lire l’avenir ou le message des dieux.
Le dieu protecteur de la ville est Akuxas. La cité est basée sur la magie de la mort. Pour faire face aux dangers et pérenniser sa population, elle a fait du combat et de la guerre ses spécialités. Ces arts sont appris dès le plus jeune âge par un entraînement rigoureux.
Elle est dirigée par Tinrakas, un dragon zombi de 1,5 de haut par 3 m de long. Il doit faire face à une querelle des deux courants de pensée présents dans la ville :
Celui pour perdurer la tradition des sacrifices de dragons au dieu Akuxas et ceux qui prônent une remise en cause de cette pratique archaïque et barbare, sûrement influencés par la culture humaine.
Ralich – Clan de l’air
Cette ville se situe à la pointe de la péninsule de AataRoo. Elle flotte au-dessus de la mer grâce à un puissant sort de lévitation. Cet ancien enchantement lançait au début des âges par le chef de clan, qui lui coûta sa première vie ainsi que celle de certains de ses sujets. Ce sort tire son pouvoir de runes cachées dans une salle secrète connue uniquement par le chef.
Pour atteindre cette ville, les seules possibilités sont de chevaucher l’une des wyverns sauvages dans la plaine en contrebas, ou d’en louer une, ou d’utiliser des sorts de portails ou de lévitation, ou de voler tout simplement. Les murs de la ville, hérité de bien avant le sortilège, semblent légers et fins, mais n’en sont pas moins solides.
Les ressources de la ville ne se situent pas sur l’île volante, mais en contrebas sur la péninsule. Ce qui n’est pas un désavantage en cas d’attaque, mais elle dispose néanmoins de grands greniers et leurs capacités à maîtriser les airs leur permet de survoler les sièges qui pourraient se dérouler.
Cette importante ville compte, 23 000 habitants, qui maîtrisent bien le pistage et la livraison de messages. Leur spécialité est la cartographie. En effet, les habitants, grâce à leurs magies et à leurs wyverns, ils peuvent cartographier toutes les îles avec une grande aisance. Leurs cartes sont réputées pour être les plus précises de tout l’archipel.
Le dieu protecteur de la ville est Agoulha et la ville lui rend honneur, à la fin du mois de Lexoulha, à travers la fête des vents. Il est de coutume de jeter au gré du vent des pétales de fleurs, généralement des fleurs de pommiers, tout en savourant le plat traditionnel de la cité : le cuisseau de wyvern, issu d’un des nombreux élevages de la région.
La tradition veut, au passage à l’âge adulte, que chaque dragon doit capturer sa propre wyvern. Ce rite de passage est une manière de s’affirmer, mais aussi de pouvoir aller et venir de la cité. Celle-ci est basée sur la magie de l’air. Elle s’avère très utile en combat, mais surtout en espionnage et en surveillance avec une diffusion rapide du message, via leur sort ou leurs oiseaux messagers.
Elle est dirigée par Elir, un dragon immense, de 20 m de haut pour 40 m d’envergure. C’est un dragon qui a le meilleur service de renseignement de tout l’archipel, il possède des espions dans toutes les cités, y compris la sienne. Ce qui le rend paranoïaque et méfiant envers tous.
Vivaqua – Clan du poison
La ville se situe sur une petite île au sud de la péninsule de Naxaata. Elle est construite sur une petite montagne escarpée, et ne possède qu’un chemin pour y accéder. Il est bordé de mille espèces de plantes vénéneuses, s’en écarter signifie souvent une mort lente et douloureuse. Les terres proches de Vivaqua sont très fertiles, on pense que le sang de Fafug nourrit ces terres, ce qui explique aussi les nombreuses plantes toxiques dans les environs.
C’est une ville importante qui compte 13 200 habitants. Elle dispose de nombreuses cultures de plantes toxiques, mais aussi médicinales, de ce fait, elle s’est spécialisée dans les produits pharmaceutiques, les poisons et contrepoisons. La ressource alimentaire principale reste la mer et ses poissons. On y déguste le fugu grillé ou poisson globe, qui, s’il est mal préparé, peut être mortel.
Les premiers jours du mois de Lexug, se déroule la fête du hasard. Mille personnes se réunissent pour manger des petits gâteaux, dont un seul est mortel, puisqu’il n’existe aucun antidote connu à ce jour. Le corps du malheureux est alors offert à Fafug pour le servir. Cette mort est considérée comme l’honneur d’avoir été choisi par son dieu.
Vivaqua possède les meilleurs conteurs d’histoires. A contrario d’Aelath, ces conteurs ne rédigent pas leurs aventures, mais les transmettent juste par oral. Il y a même une légende urbaine qui pense que dans une pièce secrète se racontent des histoires qui influencent l’avenir de ce monde.
Le dieu protecteur de la ville est Fafug. Tout naturellement, la magie de la cité a été inspirée par son environnement, et c’est donc la magie du poison. Elle sert principalement à se défendre des attaques sur la cité, en plus des défenses empoisonnées de la ville.
Elle est dirigée par Opawang, un dragon serpent de 30 m de long. Il n’aime pas trop les étrangers et préfère se replier sur son clan et sa ville, rendant celle-ci, en plus de sa toxicité environnante, peu accueillante envers les visiteurs.
Nydiag – Clan de la foudre
Nydiag se situe à l’est de l’île principale, au nord de la rivière de l’est. Ces habitations sont toutes en pierre. Ces mesures sont nécessaires, car la ville est soumise à un orage quasi permanent, laissant sur les pierres de la ville d’immenses traces de brûlure. Partout dans la cité, sur les places principales, sur les bâtiments les plus hauts, des paratonnerres captent une grande partie de la foudre, protégeant ainsi la cité.
Cette petite ville compte 8500 Habitants, pour 600 ateliers de tailleur. En effet, la spécialité de la cité est la couture. On y trouve ainsi les plus fins et les plus raffinés habits de tout l’archipel. Pour les besoins en textiles, la ville possède de grands champs de coton. Elle a aussi de nombreuses caves où sont élevées des vers à soie. Elles servent aussi à cultiver des champignons.
Au début du mois de Lexora se déroule la fête du calme. Durant cette période, l’orage au-dessus de la cité s’en va pour laisser place à un grand soleil. Les habitants de la ville profitent du calme, et ne produisent aucun bruit, que ce soit les activités artisanales, la musique ou le simple fait de parler. La population a dû s’adapter en utilisant la langue des signes. Le calme y est apprécié juste avant une nouvelle année de tempête. On y déguste le plat traditionnel, l’anguille électrique, un mets recherché et très apprécié.
Le dieu protecteur de la ville est Aïdora. La ville est basée sur la magie de la foudre. Les habitants de la cité pensent que le dieu donneur de vie n’est pas Vhalegar mais Aïdora car lui seul, par le pouvoir de la foudre, peut donner l’énergie aux êtres vivants. Cette croyance, légèrement différente du Kahaazul, est source de conflit avec les autres clans. La foudre faisant partie du quotidien de la population, celle-ci a appris à vivre avec, même les plus jeunes sont capables de la maîtriser. Elle permet de réagir vite, surtout face aux éclairs qui frappent la cité en quasi-permanence.
Elle est dirigée par Drarion, un dragon vif d’esprit et rapide. On dit de lui qui peut se déplacer aussi vite que la lumière. C’est parfois aussi un défaut, car il prend souvent des décisions hâtives sans prendre le temps de la réflexion.
Altlantide – Clan de l’ultime
La cité se situe, à l’est de l’île principale, sur l’île de Bod-Teck. Elle est un peu isolée des autres cités, ce qui fait d’elle une ville paisible et tranquille. Les bâtiments sont faits de marbre blanc et de tuile en terre cuite rouge. Dans cette cité, on y trouve les plus grands philosophes et scientifiques de tout l’archipel qui débattent dans le grand forum de la cité. Elle possède aussi la bibliothèque la plus complète avec de nombreux ouvrages sur toutes sortes de sujets, et même, d’après certaines rumeurs, les livres les plus puissants de l’histoire.
Cette ville importante possède 26 000 habitants, dont la spécialité est la science et la compréhension du monde. C’est une ville de savoir, tous les plus grands scientifiques s’y réunissent pour effectuer leurs expériences et en débattre. La ville dispose de nombreuses ressources, carrière de marbre pour les bâtiments, vigne, blé, verger, élevage, etc. Ce qui la rend assez indépendante. Le plat préféré est le fameux porc au miel.
Ils vénèrent le dieu protecteur de la cité, nul autre que Vharung, en lui rendant hommage durant l’équinoxe de printemps. Pendant cette période est organisée une grande fête : les saturnales. Elle consiste à changer de rôle avec d’autres dragons. L’espace d’une journée, les métiers sont inversés, cela permet, selon eux, de mieux comprendre les autres. On y délecte du nectar de rose, la boisson des dieux selon eux, boisson préférée de la ville.
La cité est basée sur la magie ultime. Une magie qui permet de contrer ou d’annuler les autres magies. C’est une magie puissante, car elle rend impuissant les magiciens ennemis durant une bataille, favorisant ainsi leurs troupes.
Elle est dirigée par Gemma, un puissant dragon, presque immunisé à la magie, d’une taille plutôt modeste, 2 m de saut. Ce dragon est aussi le plus sage, et se refuse à toutes prises de décisions hâtives avant d’y avoir mûrement réfléchi et débattu. Cette longue réactivité peut être parfois aussi un handicap.
Yie – Clan du feu
Cette ville se situe au cœur du grand lac de lave de la forêt de Bokaatu, à l’est de l’île principale. La température ne descend pas en dessous des 45°C. Mais la chaleur qui y règne ne semble pas déranger ces habitants. Les constructions sont faites de roches volcaniques, cimentées grâce à de la lave refroidie.
On compte, 7500 habitants, ce qui en fait une petite ville, dont la spécialité est le travail des métaux. C’est le volcan qui remonte ces éléments lourds tels que le fer, l’or ou encore le plomb. La vie y est assez rude, le mode de vie étant plutôt spartiate. Les gens de la cité disposent d’un confort rudimentaire. L’eau y est rare dans la cité et précieuse, la gaspiller est même un délit. Cependant, celle-ci devient plus présente, au fur et à mesure, qu’on s’éloigne de la ville, il y a même de riches cultures de blé et d’orge dues à d’anciennes coulées de lave.
Les habitants adorent la crème brûlée aux châtaignes, le plat traditionnel de la ville. Le dieu protecteur de la cité est Merwang, dieu du feu et de la forge. Pour lui rendre hommage, au mois de Lexang se déroule l’épreuve du feu. Les futurs guerriers doivent traverser, pieds nus, un tapis de cendre chaude, pour prouver leur valeur. Cette cérémonie est suivie d’un grand banquet.
La cité est basée sur la magie du feu. C’est une magie très offensive qui sert au combat, mais aussi aux besoins quotidiens dans de nombreux métiers comme forgerons, bijoutiers, cuisiniers, etc. Hisshy est le meilleur forgeron de toute la cité, et de l’archipel. Il aurait forgé l’épée de Vharung, appelée aussi “épée de Liber”, enfin à ce qui paraît, car à l’heure actuelle, personne ne sait où se situe cette épée, ni même si elle existe vraiment.
Elle est dirigée par Rylas, un dragon de 25 m de haut. Il peut cracher du feu et le manipuler à loisir. Il est sûr de lui et fier et à du mal à admettre ses erreurs. Son caractère a conduit la cité à de nombreux conflits inutiles.
Atakanax – Clan de l’ombre
L’emplacement de cette île est très mystérieux et particulier. En effet, celle-ci semble se déplacer. La légende veut qu’elle soit posée sur le dos d’une tortue géante, qui suit les bancs de poissons pour se nourrir. Une seconde petite île l’accompagne servant de zone agricole pour subvenir aux besoins de la cité.
C’est le repère du clan de l’ombre, un clan de mercenaires et d’assassins, qui se font une joie d’accomplir les basses besognes des autres clans. Contrairement à ces derniers, il n’y a pas de dirigeant unique à sa tête, mais une puissante guilde regroupant les membres les plus anciens de la ville.
Leur singularité ne s’arrête pas à leur manière de diriger, mais aussi dans leur culte. En effet, contrairement aux autres dragons, ceux-ci ne vénèrent pas le culte de Vharung mais un dieu de la destruction nommé Kali. Ce culte particulier prône d’autres valeurs :
Celui de la parole donnée, en effet, il est insultant de revenir sur ses dires. D’où leur volonté de respecter tous contrats passés. Cela peut aller jusqu’à des enlèvements ou l’assassinat d’innocents pour honorer leur pacte. Une autre conséquence de cette devise est que si le contrat n’est pas rempli par l’un des membres du clan, pour x raisons. Elle devra être terminée par un autre membre, la parole donnait d’une personne pour un contrat engageant tout le clan. Le contrat n’étant en aucun cas modifiable, on ne peut revenir sur ce qui a été dit.
L’absence de nom, il est rare que les dragons de la cité portent un nom, ils ne sont pas attachés à cette étiquette, et ils en font de même avec leurs commanditaires, ce qui garantit l’anonymat de chacun.
Le silence, ils considèrent la délation et la calomnie comme une hérésie. C’est pourquoi, il ne laisse pas de témoins de leurs actes (hors commanditaire), et tue systématiquement toutes personnes susceptibles de compromettre l’ordre de l’ombre. Une autre conséquence de cette devise est qu’en cas de capture, la mort sera toujours privilégiée que de parler.
Par ces valeurs et leur culte, ce clan est très mal perçu par les autres clans. Plusieurs tentatives pour le démanteler ont échoué par le passé. La capture de l’un de ses membres, pour révéler la position de cette île, est l’un des objectifs principaux des gardes et du clan du corbeau, mais cela n’a pas encore porté ses fruits. La seule chose qu’ils savent, c’est qu’un membre du clan de l’ombre sait toujours retrouver son île, mais ils ignorent comment.
Liber – Capital des dragons
Liber est la capitale du monde des dragons. Au sein de cette ville se situe plusieurs bâtiments notables, comme la salle du grand conseil avec son toit de marbre blanc en forme de lotus ou comme la grande bibliothèque. Elle a la particularité de recueillir différents clans dans sa population, chacun ayant son propre quartier et ambassade, avec en son centre, un quartier neutre, peuplé récemment par des humains et des démons convertis.
Elle est la plus importante des villes avec ces 30 000 habitants, d’où son nom de “joyaux de l’île”. Malgré ces temps troublés, par un conflit inter-clan, la ville reste dans une paix blanche. La défense de la ville était détenue, dans un premier temps, par le clan de la terre, c’est pourquoi leur quartier suit les murailles, jusqu’à l’arrivée du clan du Corbeau. Ces derniers sont maintenant chargés de la sécurité de la ville, cependant le clan de la Terre est toujours chargé de l’entretien des murailles. Cela n’est pas chose facile, entre les sectes qui sont la source de beaucoup d’ennuis, les rivalités entre les guildes, les attaques extérieures de monstres ou de brigands, etc.
En plus des clans, la ville regroupe toutes les guildes de l’archipel (magicien, assassin, guerrier, voleur, etc.). C’est un lieu idéal pour échanger et pour se cultiver, la cité disposant de la bibliothèque la plus fournie. On y trouve aussi des marchés gigantesques avec de nombreuses denrées venues des quatre coins de ce monde, mais à côté de cela, on y trouve aussi des sectes et les plus grands groupes de criminels, notamment la famille Korsnovic.
À Liber, en plus des différentes fêtes de clans qui animent quasi toujours la ville, on y célèbre la fête de l’union, le premier jour de Lexrung. Tous les dragons sortent des tables dans la rue, afin d’organiser un immense banquet pour tous. À cette occasion, de nombreux artistes sortent dans les rues comme des troubadours, des peintres ambulants, des jongleurs, des dresseurs de monstres, etc.
Autres lieux
– Les îles maudites : Ces îles, situées au nord de l’archipel, sont peuplées par les clans de Draauch venus par le portail d’une de ces îles. Ces derniers sont très territoriaux et attaquent à vue tous étrangers débarquant sur leurs terres.
– Les îles mystérieuses : Ces îles, situées au sud-ouest de l’archipel, sont le croisement de toute la magie des portails. Le temps et l’espace y sont très altérés. Rare sont les personnes qui peuvent se vanter d’en être revenu. On y trouve des objets du passé, du futur ou d’autres mondes. Sur ces îles, les portails apparaissent et disparaissent de manière totalement chaotique.
Oklata – La ville humaine
Cette cité a été bâtie par les dragons pour accueillir les humains qui fuyaient la peste noire d’Europe. Elle possède de nombreuses églises, monastères et couvents dédiés au culte du nouvel ordre. Elle est divisée en trois grosses zones, en fonction des classes sociales. Au centre, se positionne une grande place de marché. Elle dispose d’un accès à la mer et d’une bonne flotte de bateaux.
La ville est réputée pour ses artisans de grandes qualités. C’est une cité récente et dynamique et la seule qui dispose d’un système monétaire. On y savoure le pâté de chevreuil, principalement aux fêtes judéo-chrétiennes. La ville est sous l’autorité d’un conseil de noble, du roi et de la classe noble.
Autres villes humaines
Les humains, tout comme les dragons, n’ont pas que cette ville, ils disposent de nombreux petits bourgs et villages éparpillés dans tout l’archipel. Ils leur servent à obtenir d’autres ressources et à commercer avec d’autres peuples.
Le monde des démons
Les démons et les draauchs ne proviennent pas de ce monde, mais d’une autre planète désolée et ravagée. Elle a été détruite par les guerres des différents clans de démons, qui cherchent maintenant à survivre.
Leurs villes ne sont plus que ruines et désolations, des tas de gravats où subsistent quelques-unes de leurs espèces. Certains pensent que leur dieu Waetra les a abandonnés. Ils ne savent comment aller et venir de leur monde à celui des dragons via les portails présents sur les deux mondes.
Concernant plus en détail ce monde, malgré sa destruction avancée, il possède une faune et flore rare et limitée. On peut aussi apercevoir dans le ciel trois soleils.
C’est un monde dans lequel la réussite personnelle prime sur tout, la loi du plus fort et la seule qui prédomine. Pour preuve, il est généralement de coutume de déguster le cerveau de ses rivaux dans son crâne, pour s’approprier sa force et son énergie, et le tout, pour honorer leur dieu Waetra.
Le monde souterrain
Sous la surface de Liber, se trouve l’immense grotte, principalement dû à d’anciennes coulées de lave. Dans ce monde vit les rocailleux, ainsi que beaucoup de personnes fuyant le monde de la surface. Pour y accéder, il faut se frayer un chemin dans des grottes ou des mines tortueuses.
Les autres mondes
Les portails peuvent mener à des milliards d’autres mondes éparpillés dans l’univers. Sur chacun d’entre eux, des dragons gardiens ont été créés par les dieux, protecteurs du savoir, de la planète. Ils peuvent être encore en vie ou avoir disparu. Il arrive parfois que cette magie des portails ne fonctionne pas correctement. C’est le cas sur les îles mystérieuses. Un petit groupe d’îles où toute la magie des portails convergent.